Six mois après les Jeux olympiques et paralympiques de Rio, des photographes de presse sont retournés sur les lieux pour voir ce qu’il était advenu des infrastructures. Résultat, certaines d’entre elles ont été pillées et la plupart, laissées à l’abandon, gisent dans un état de délabrement spectaculairement avancé. Au Maracana, des vers ont ravagé le terrain, les fenêtres ont été brisées, les tuyaux de cuivre auraient été arrachés des murs et des plafonds, et près de 8 000 sièges auraient été arrachés sur les 78 000 que compte le stade. Fin janvier, la société électrique qui fournissait le stade en énergie a dû couper le courant, suite à des factures impayées de près d’un million de dollars. L’événement n’aura pas bénéficié à la population de la ville, comme c’était initialement prévu. Crédits : Vanderlei Almeida/AFP Crédits : Yasuyoshi Chiba/AFP Crédits : Nacho Doce/Reuters Crédits : Nacho Doce/Reuters Crédits : Vanderlei Almeida/AFP Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Pilar Olivares/Reuters Crédits : Silvia Izquierdo/AP Crédits : Silvia Izquierdo/AP Crédits : Silvia Izquierdo/AP Source : The Guardian