Seulement vingt minutes après Neil Armstrong, Buzz Aldrin est devenu en 1969 le deuxième être humain à avoir posé le pied sur la Lune dans le cadre de la mission Apollo 11. Cinquante ans plus tard, le 1er mai, le Washington Post a prêté sa plume à l’ancien astronaute pour qu’il écrive un mot. Dans cette tribune, Buzz a appelé l’humanité à migrer vers Mars.
Au fil de ces quelques lignes, Aldrin encourage le Congrès et le président Trump à « faire des missions d’exploration humaine sur Mars une priorité nationale ». Selon lui, la force de l’engagement des États-Unis va au-delà des frontières et devrait « ouvrir la porte […] à la plus grande migration de l’humanité, vers Mars. »
« La nature humaine – et potentiellement la survie ultime de notre espèce – exige que l’humanité continue de s’étendre dans l’univers », a-t-il également précisé. Comme tout le monde, il faudra toutefois qu’il prenne son mal en patience pour voir un jour s’établir des colonies de peuplement permanentes sur la planète rouge ; le Congrès des États-Unis s’est fixé comme objectif de voir les premiers astronautes fouler son sol en 2033.
Source : The Washington Post