Il y a des lieux qui ne sont vraiment pas gâtés par la nature. Catastrophes naturelles ou environnements peu agréables, voici six villes qui ont connu des situations incroyables. 1. Ce village australien a été recouvert de toiles d’araignées Crédits : AAP Image En Australie, le village de Wagga Wagga a été envahi par des toiles d’araignées géantes à la suite d’inondations. Quand le fleuve Murrumbidgee est sorti de son lit, des millions d’araignées sont, elles, sorties de leur habitat naturel. Habituellement, ces arachnides se cachent de leurs prédateurs volatiles mais, le sol étant mouillé, elles se sont mises à fabriquer des toiles surélevées. Résultat : de gigantesques voiles blancs recouvraient tout le paysage. 2. Un gigantesque incendie dans les rues de Dublin suite à un torrent de whisky Crédits : South Dublin County Libraries En 1875, près de 285 m3 de whisky se sont déversés dans les rues de Dublin. Sur son passage, le torrent d’alcool a déclenché un incendie qui s’est rapidement propagé. À l’époque, les habitants ont comparé le spectacle à un torrent de lave. Les pompiers ont d’abord essayé d’éteindre les flammes avec de l’eau, mais en vain. Ce sont finalement les tas de fumier, présents un peu partout dans la ville, qui sont venus à bout du brasier. 3. Cette ville australienne a été envahie par les mauvaises herbes Crédits : Channel 7 Décidément, les Australiens n’ont pas de chance. Cette mauvaise herbe se propage si vite qu’elle en vient à bloquer les portes et les fenêtres, atteignant même les toits des maisons. Les habitants de la ville de Wangaratta doivent tondre plusieurs fois par jour devant leur porte pour ne pas se retrouver coincés. Les autorités disent ne rien pouvoir faire contre cette mauvaise herbe, si ce n’est espérer que le vent la porte jusqu’à la ville suivante. 4. Londres pendant le « grand smog » Crédits : Hulton Archive En décembre 1952, Londres a connu la pire pollution atmosphérique de toute l’histoire du Royaume-Uni. À l’origine de ce brouillard particulièrement dense sur la ville, le froid de l’hiver qui avait mené les Londoniens à allumer plus de feux de cheminée que de coutume. Le charbon, de qualité assez médiocre à l’époque, avait augmenté l’émission de dioxyde de soufre. Un anticyclone s’était également installé sur la ville, empêchant les particules de circuler. Résultat : une épaisse couverture empêchant de voir à plus de 30 cm devant soi. Les voitures ont donc été abandonnées au milieu de la route et certaines personnes se sont même noyées ce jour-là en tombant par mégarde dans la Tamise. 5. New York couverte de crottin de cheval Crédits : Collectors Weekly Ce qui caractérisait les rues de New York au XIXe siècle n’étaient pas les taxis jaunes mais plutôt les calèches, qu’on ne voit plus aujourd’hui que dans les alentours de Central Park. Avec la croissance de la population, les chevaux utilisés comme moyen de transport étaient également de plus en plus nombreux. Les 100 000 à 200 000 bêtes réunies produisaient près d’une tonne de crottin par jour. Ajoutez à cela l’odeur nauséabonde des cadavres des chevaux épuisés à la tâche et vous comprendrez pourquoi l’environnement était si propice au développement des maladies. Environ 20 000 personnes mouraient chaque année de maladies liées à l’insalubrité de la ville. 1. Quand New York était le paradis des fumeurs de cannabis En 1950, à New York, les plantations de cannabis étaient monnaie courante, surtout dans les quartiers de Brooklyn et du Bronx. L’invasion de la marijuana dans la ville était surtout due à l’ignorance de ses habitants. Ceux-ci étaient incapables de distinguer le cannabis de n’importe quelle autre mauvaise herbe. Quand les autorités municipales ont enfin pris la mesure du problème, des centaines de milliers de plantes avaient germées. En 1951, les services sanitaires de la ville ont détruit une quantité de cannabis d’une valeur de six millions de dollars. Source : Ca Où sont passés les habitants de Pyramiden ? ↓