À seulement 11 ans, le prodige belge Laurent Simons vient de décrocher une licence en physique à l’université d’Anvers. Dans une interview au journal néerlandais De Telegraaf parue ce lundi, le génie précoce confie que son but est d’atteindre l’immortalité.
Bachelier à l’âge de 8 ans, on entendait parler de Laurent Simons pour la première fois en novembre 2019, alors qu’il était en passe de recevoir un diplôme d’ingénieur, s’apprêtant à devenir le plus jeune diplômé universitaire du monde. Le mois suivant cependant, il avait été accusé de plagiat et l’enfant au QI de 145 avait subitement quitté la faculté.
Jeune comme il était, le natif d’Ostende est apparemment retombé sur ses pieds puisqu’il vient d’obtenir une licence en physique à l’université d’Anvers à tout juste 11 ans. Les journalistes se sont empressés de recueillir ses impressions. « Peu m’importe que je sois le plus jeune », a-t-il déclaré. « Pour moi, il s’agit d’acquérir des connaissances. En avril dernier, j’ai découvert la mécanique newtonienne et la physique quantique. J’ai immédiatement voulu tout savoir sur ces sujets. J’ai mis tous mes autres travaux en attente afin de m’y plonger. »
À présent sur la route du master, Laurent Simons a une ambition bien précise : celle de devenir un cyborg immortel. « C’est la première partie de mon plan pour remplacer les parties du corps par des pièces mécaniques afin d’atteindre l’immortalité », confie Laurent. « J’ai tracé un chemin pour y arriver. On peut le voir comme un grand puzzle. La physique quantique – l’étude des plus infimes particules – est la première pièce de ce puzzle. » On aimerait voir ses cahiers de vacances.
Source : De Telegraaf