Mauvaise nouvelle pour les 1 % les plus riches du monde, relayée ce lundi 7 octobre par The Independent : ils vont avoir de plus en plus de mal à se trouver un pilote pour leur jet privé.
Si les jets privés sont devenus un symbole de richesse international dès les années 1960, les chiffres de l’industrie ont été clairs : il faudra trouver 5 000 pilotes en plus chaque année sur les deux prochaines décennies pour s’assurer qu’ils ne restent pas au sol : « Le monde a besoin de 98 000 nouveaux pilotes d’aviation d’affaires d’ici 2038 pour répondre à la demande croissante », a annoncé Oliver Stone (aucun lien), directeur de l’entreprise revendeuse de jets Company Colibri.
Comble de l’histoire, c’est en partie pour une histoire d’argent : en effet, les pilotes sont plus tentés par une aventure « classique » dans des compagnies commerciales où ils sont généralement mieux payés…
Dans les plus grandes entreprises britanniques britanniques comme Easyjet, British Airways ou Ryanair, ils peuvent gagner jusqu’à 200 000 £ par an. Morale de l’histoire, ce sont les plus fortunés qui payent le plus mal leurs employés.
Source : The Independent